Voici les études de cas correspondant à votre recherche :
Officier des forces de sécurité, j'anime une cellule de surveillance des réseaux criminels de toutes sortes, notamment à partir des interceptions de relations entre les membres de ces réseaux : texte, mais surtout enregistrements audio, dans les langues les plus diverses, parfois rares. Je sais que l'intelligence artificielle permet de mettre en évidence des faits d'intérêt majeur par l'analyse dans le temps de ces données textuelles et aimerais en savoir davantage.
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Je suis décideur dans un institut d'études marketing et de sondage d'opinion. Je souhaite lancer des enquêtes incluant des questions ouvertes pour leur richesse. Mais comment dépouiller toutes ces contributions en texte libre ?
Enseignant dans l'enseignement supérieur, je dois vérifier que les copies de mes étudiants ne contiennent pas d'extraits traduits d'articles scientifiques disponibles en ligne.
Je suis responsable d'une plateforme touristique d'un office de tourisme, et je souhaite proposer aux touristes potentiels des descriptions de mes prestataires et socioprofessionnels prenant en compte les avis clients.
Je suis directeur de la publication d'un journal d'information généraliste. A l'heure des médias sociaux, tout le monde ou presque peut publier de l'information visible de toute la planète. Cette formidable opportunité est hélas une aubaine pour les rumeurs voire la désinformation délibérée. Ne pas se faire le relais des infox est un devoir des médias désormais inscrit dans la loi. Débusquer et dénoncer la désinformation n'est pas une obligation légale mais un objectif éthique pour les médias.